Tapis Beni Ouarain #2 – 160×210
Rupture de stock
600 €
- Pièce unique – réalisée à la main
- Coloris Blanc cassé et noir
- Dimensions : 160 x 210cm
- Chaque pièce est unique et artisanale, aussi les teintes varient et des irrégularités peuvent être présentes
Les tapis Beni Ouarain séduisent par la sonorité de leur nom descendant tout droit du Haut Atlas. Œuvre d’un savoir-faire typique, ils répondent d’une manufacture garantissant leur longévité. En d’autres termes, les Beni Ouarain sont faits pour rester. La laine épaisse est conservée dans son état le plus brut. Cette version dite gravée, précisément tissée en relief, est une réinterprétation moderne du modèle Beni Ouarain traditionnel. Les brins de laine plus ou moins serrés font discrètement varier le volume de la surface. Un parti pris décoratif que l’on retrouve aussi dans la variation de motif de ces nouveaux modèles contemporains. Il n’y a pas que l’apparence qui compte, mais celle-ci fait naturellement son effet.
- 100% laine
- Les franges présentent uniquement d’un côté sont gage de la production artisanale du tapis
- Retrouvez tous nos conseils pour entretenir votre tapis sur notre page “Conseils d’entretien” : nous vous y expliquons tout !
Le travail des tisseuses berbères concerne depuis longtemps une tradition féminine, qui se transmet de mères en filles. Ce sont les femmes qui assurent toutes les étapes qui se déroulent après la tonte, la préparation, le lavage, les couleurs et les teintures, le stockage et le filage de la laine, puis enfin le tissage. Elles tissent pour la maison, pour le mariage des filles et aussi pour les hommes, elles tissent les fils de la vie : la vie, la mort, la virginité, l’accouplement, la naissance, l’amour…
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Signature éternelle
On aurait envie de les exposer comme des œuvres d’art, et on pourrait. Les tapis berbères racontent l’histoire des plus vieux habitants du Maroc, où chacun se veut l’ambassadeur d’une part de l’héritage culturel de son pays. Les tisseuses berbères, gardiennes de précieuses techniques d’exécutions, tissent une même pièce parfois pendant un mois.
Les brins de laine, conservant majoritairement leur couleur crème d’origine, dessinent des motifs traditionnels. Qu’on préfère le design sobre et graphique d’un Beni Ouarain, les couleurs éclatantes d’un Azizal, ou l’épaisseur d’un Marmoucha, on se laisse facilement emporter dans ce monde onirique et coloré.